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Logiciel libre

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Logiciel libre


Un peu d’histoire


Richard Matthew Stallman est le fondateur du mouvement pour les logiciels libres. Chercheur informaticien au laboratoire d'intelligence artificielle du Massachusetts institute of technology (MIT) depuis 1971, il a participé au développement d’un système d'exploitation à temps partagé appelé ITS. L'équipe du laboratoire d'IA autorisait l'utilisation de ces logiciels par d'autres universitaires ou ingénieurs et laissaient à la libre disposition le code source, afin de lire, modifier ce logiciel. Cette communauté a disparu dans les années 80. Richard M. Stallman décide alors de développer un système d'exploitation libre et de stimuler ainsi la constitution d'une nouvelle communauté qui se chargerait de faire évoluer ce logiciel. Il démissionne ainsi en 1984 de son poste au MIT et, pour mieux garantir le succès de ce système, il décide de le rendre compatible avec Unix et le nomme GNU (Gnus’s Not Unix).

Afin de permettre une rentrée d'argent, Richard M. Stallman et les autres participants au projet créent en 1985 une association à but non lucratif, la Free Software Foundationexternal link (FSF), dont l'objet est le développement des logiciels libres, la récupération du marché de la distribution de ces logiciels et la vente des manuels libres.

En 1990, le système GNU est presque terminé. Le seul composant principal qui manque alors est le noyau (kernel). En 1991, Linus Torvalds développe un noyau compatible avec Unix, qu'il nomme Linux. La jonction de Linux et du système GNU fournit ainsi vers 1992 un système d'exploitation libre et complet, appelé GNU/Linux, qui évite l'utilisation du logiciel propriétaire Unix. Le système d'exploitation GNU/Linux est aujourd'hui distribué par des sociétés comme Red Hat ou Mandrake, et des associations comme Debian.

Une des premières préoccupations de Richard M. Stallman a été d'instituer des conditions de distribution qui empêcheraient de transformer le logiciel GNU en logiciel propriétaire. Il invente alors le concept de Copyleft (‘gauche d'auteur’), qui utilise les lois du copyright, mais de manière à laisser le logiciel "libre", et rédige avec Eben Moglen la première licence permettant de réglementer la distribution d'un logiciel avec son code source, modifiable (un logiciel libre) : la GNU GPL (GNU General Public Licence). L'objectif de la GPL est de rendre le logiciel libre en créant un fonds commun auquel chacun peut ajouter, mais duquel personne ne peut retrancher.

Définitions


Free Software, copyleft…


La notion de logiciel libre se comprend par opposition aux logiciels exclusifs (‘proprietary software’ en anglais, aussi parfois appelé logiciel propriétaire en français), qui ne sont disponibles que dans une version immédiatement exécutable dans un environnement restreint, sans possibilité d'inspecter ou de modifier les sources. Un logiciel distribué sous forme d'exécutable sans les sources n'en est qu'un extrait très partiel, d'usage limité dans le temps et l'espace. Sa diffusion est par ailleurs interdite ou strictement encadrée.

Selon la FSF, un logiciel libre est un logiciel dont le code source est fourni avec l'autorisation pour quiconque (simples utilisateurs ou développeurs) de l'utiliser, de le copier, de le modifier et de le distribuer, gratuitement ou contre un certain montant. « Free » est ainsi à comprendre dans le sens de « libre » et non de « gratuit ».

La disponibilité du code source n’implique pas à elle seule la qualification de « libre » pour un logiciel. D'un point de vue juridique, un logiciel libre est avant tout un logiciel protégé par le droit d'auteur et soumis au code de la propriété intellectuelle. Sa licence le réglemente et en délimite les droits et obligations afférents, en accordant les quatre libertés suivantes à tout individu ayant acquis une version du logiciel :

  • la liberté d'exécuter le programme, pour tous les usages (liberté 0) ;
  • la liberté d'étudier le fonctionnement du programme, et de l'adapter à ses besoins (liberté 1) ; pour cela, l'accès au code source est nécessaire ;
  • la liberté de redistribuer des copies, donc d'aider son voisin, (liberté 2) ;
  • la liberté d'améliorer le programme et de publier ses améliorations, pour en faire profiter toute la communauté (liberté 3) ; pour cela, l'accès au code source est nécessaire.

Notons que la licence préserve les droits de l'auteur du logiciel qui reste libre de le diffuser sous d'autres licences.

Le concept de copyleft (‘gauche d’auteur’) définit une licence qui reprend les quatre libertés décrites ci-dessus et dont les termes doivent être repris à l’identique en cas de nouvelle distribution. Au lieu de distribuer un programme dans le domaine public, le copyleft consiste à s'appuyer sur le droit d'auteur (‘copyright’ en anglais) et à y ajouter des conditions de distribution, qui sont un outil légal donnant à chacun le droit d'utiliser, de modifier, et de redistribuer le code du programme, ou tous les programmes qui en sont dérivés, mais seulement si les conditions de distribution demeurent inchangées. Ainsi, le code et ses libertés sont légalement indissociables.

En requérant que toutes les versions modifiées et étendues d’un logiciel libre soient libres également, ceci permet de garantir qu'aucune personne morale ou physique ne pourra s'approprier le code source gauche d'auteur en y effectuant des changements minimes et en distribuant le résultat comme un logiciel propriétaire. Le copyleft indique que quiconque redistribue les logiciels libres, avec ou sans modifications, doit aussi transmettre la liberté de les copier et de les modifier. Le code source est ainsi reversé à la communauté (Copyleft - All rights reversed vs Copyright - All rights reserved). Alors que le copyright est utilisé pour restreindre la liberté des utilisateurs, le copyleft est utilisé pour la garantir.

… et Open Source


Considérant le discours de Richard M. Stallman excessif, comme de nombreux membres de la communauté des développeurs libres, Eric S. Raymond créa l'Open Source Initiativeexternal link (OSI). Alors que les partisans du Free Software s'attachent à l'importance de la liberté du logiciel, les partisans de l'Open Source ont une optique plus commerciale et mettent l'accent sur le modèle technique de développement de logiciel. L'OSI joue un rôle d'organe certificateur et dresse une liste de licences respectant l'appellation Open Source, sur base de neuf critères plus pratiques et plus techniques que les grands principes de la FSF :

  1. Redistribution libre
  2. Disponibilité du code source
  3. Autorisation de travaux dérivés
  4. Intégrité du code source de l'auteur
  5. Absence de discrimination envers des personnes ou des groupes
  6. Absence de discrimination envers des domaines d'activité
  7. Distribution de licence
  8. La licence ne doit pas être spécifique à un produit
  9. La licence ne doit pas imposer de restrictions sur d'autres logiciels

Notons qu’à sa création, le terme Open Source devait lever l'ambiguité du ‘free’ de Free Software. En anglais, ‘free’ signifie à la fois libre et gratuit. Hors, s'il l'est souvent, un logiciel libre n'est pas toujours gratuit. Malheureusement, le terme Open Source entraîne une nouvelle ambiguité : celle qu'un logiciel "à source ouverte" n'est pas forcément libre. En effet, plusieurs des logiciels open source sont publiés sous une licence restrictive quant à leur distribution (ex : licence Community Source de Sun ou licence Shared Source de Microsoft), ce qui les rend de fait légalement incompatibles avec les logiciels sous licence GNU GPL et autres.

Types de licences


Les licences peuvent être regroupées en trois grandes familles :

  • Appropriation du logiciel libre interdite (GPL, LGPL) : les améliorations apportées à un logiciel soumis à ces licences sont automatiquement soumises aux règles de l’accès au code source.
  • Appropriation partielle du logiciel autorisée (Mozilla Public License et Netscape Public License) : un logiciel libre peut faire l’objet d’une appropriation partielle, et les modifications apportées ne sont pas systématiquement offertes en libre accès à d’autres utilisateurs.
  • Appropriation complète du logiciel libre tolérée (BSD (Berkeley Software Design License), Artistic, MIT, Apache, Zope) : l'intégration du logiciel libre est autorisée dans un produit dérivé soumis à la même licence, voire à une autre licence, même une licence propriétaire. Le logiciel incorporé devient alors propriétaire.

La licence GNU GPL est la licence la plus utilisée dans le monde du logiciel libre (plus de la moitié des logiciels). Elle place automatiquement sous licence GPL les versions modifiées élaborées à partir d'un programme sous licence GPL, en cas de diffusion au public, ce qui oblige de rendre disponible le code source de la version modifiée. C’est la seule qui garantisse qu'un développement mis à disposition ne sera pas repris sous forme de logiciel propriétaire. Parmi l’ensemble des licences des logiciels libres, elle est généralement considérée comme celle qui offre le plus de libertés aux développeurs, car elle permet d'intégrer la plupart des composants en logiciel libre.
Voir les termes et conditionsexternal link et le texteexternal link de cette licence.

Une forme alternative de copyleft, la GNU LGPL (Lesser General Public License) s'applique à quelques bibliothèques GNU. Elle est un peu moins restrictive du point de vue du copyright puisqu’elle permet l’intégration de modules non libres. Initialement appelée Library GPL (GPL pour les bibliothèques), cette licence n’est pas particulièrement recommandée par le projet GNU (Consulter à ce sujet l’article de Richard Stallmanexternal link.)
Voir les termes et conditionsexternal link de cette licence.

Les licences peuvent être déclarées compatibles (ou non) avec la licence GPL, avec les problèmes inhérents à la co-existence de licences. Deux licences différentes avec copyleft sont généralement incompatibles, ce qui signifie qu'il est illégal de mélanger du code utilisant une de ces licences avec du code utilisant l'autre. Bien qu’il y ait de nombreuses façons d'écrire les conditions de distribution, dans la pratique actuelle quasiment tous les logiciels sous copyleft utilisent la Licence Publique Générale GNU.

N.B : Face aux incertitudes liées à la validité en France de la licence GPL, trois organismes de recherche français ont élaboré, en réaction, un modèle de licence open source dénommée CeCILL (Cea, Cnrs, Inria Logiciel Libre) présenté comme satisfaisant aux exigences du droit français (Code Civil, Code de la Consommation, etc.).

Voir aussi :


Source : Guide de choix et d’usage des licences de logiciels libres pour les administrations, Décembre 2002external link
Note : Toute reproduction ou représentation intégrale ou partielle est permise aux deux conditions suivantes : citer la source et l'indiquer à l’ATICA : atica@atica.pm.gouv.fr

Modèle économique des logiciels libres


Les moteurs de la production de logiciel libre


Les entités qui contribuent au niveau mondial à la production de logiciel libre relèvent du secteur public aussi bien que du secteur privé.

Dans le secteur public les premiers contributeurs ont été les laboratoires de recherche et les universités, qui ont été rejoints par les administrations centrales et les collectivités locales. Pour un chercheur dans un laboratoire ou une université, le cadre du logiciel libre permet de diffuser des travaux innovants à une large communauté ou aussi d'effectuer une contribution ponctuelle qui vient s'ajouter à un ensemble déjà élaboré. Dans les deux cas, la contribution du chercheur reste identifiable et peut accroître sa notoriété. Pour les administrations centrales et les collectivités locales, une des motivations est la mise en place d'interfaces ou d'outils utilisables par des entités connexes mais non reliées hiérarchiquement, une autre motivation est la diffusion parmi les fournisseurs d'interfaces standardisées comme, par exemple, pour le transfert de contenus multimédias.

Dans le secteur privé les facteurs décidant les sociétés à produire du logiciel libre sont liés au rôle de la société en tant que constructeur informatique, éditeur de logiciels, distributeur ou intégrateur de systèmes. Certaines sociétés combinent plusieurs de ces rôles.
  • La majorité des constructeurs informatiques voit Linux comme une façon d'élargir la diffusion de leurs matériels. Certains constructeurs vont même jusqu'à contribuer aux logiciels libres, soit pour accroître les fonctionnalités et les performances de Linux, soit, pour élargir l'offre de logiciels sur leurs plates formes Linux ainsi qu'UNIX.
  • Certains éditeurs de logiciels qui veulent percer sur un marché contrôlé par un petit nombre d'acteurs placent leur logiciel sous licence libre afin de lui assurer une diffusion maximale. Leurs revenus proviennent de la fourniture de services connexes : formation, support ou même fourniture anticipée de la dernière version moyennant une redevance.
  • Les distributeurs de logiciels libres prennent des engagements de maintenance de ces logiciels. Ils sont donc directement intéressés à contribuer à la communauté de développement constituée autour d'un logiciel.
  • Les sociétés de services intègrent dans les systèmes qu'elles réalisent des composants en logiciel libre. Elles sont ainsi amenées à contribuer à la maintenance de ces composants. Par ailleurs les sociétés de services réalisent des logiciels libres pour le compte d'administrations ou de sociétés.

Les revenus tirés des logiciels libres


Les revenus directs liés aux logiciels libres sont de deux ordres.
  • Des revenus liés à la distribution des logiciels libres. Contrairement à un avis couramment répandu, la gratuité n’est pas une caractéristique intrinsèque du logiciel libre. Il est possible pour un logiciel libre d'être diffusé moyennant une contrepartie monétaire. C'est le cas par exemple pour les distributions de Linux. On constate cependant fréquemment une diffusion gratuite par publication sur un site web.
  • Des revenus liés à la fourniture de services connexes par les distributeurs ou par les sociétés de service. Les services fournis autour des logiciels libres sont notamment l'intégration, le développement d'extensions, la formation, le support et la maintenance. La réalisation de logiciels libres par une société de services pour le compte d'un donneur d'ordres peut aussi entrer dans cette catégorie de revenus.

Les revenus indirects découlent des avantages concurrentiels qu'une société acquiert en s'appuyant sur le logiciel libre. Ces avantages varient suivant le profil de la société :
  • un constructeur qui intègre des logiciels libres élargit son offre de systèmes d'exploitation et de logiciels, ce qui contribue à son effort de vente,
  • une société de services peut accroître sa productivité en intégrant des composants libres.

Intérêts des logiciels libres et précautions d’emploi


Intérêts


L’intérêt des logiciels libres peut se décomposer en sept points :

  • Coût d'investissement
    • Coût des licences : coût nul ou, dans le cas d'un distributeur, coût faible.
    • Matériel : les logiciels libres ne nécessitent pas en général d'acquisitions de matériel spécifiques, ils peuvent généralement fonctionner avec du matériel standard de type PC, ainsi que sur de nombreuses plates-formes matérielles ; ils se caractérisent souvent par une demande de ressources matérielles moins importante que pour les logiciels propriétaires, pour obtenir une réponse équivalente en terme de performances.

  • Coût de fonctionnement
    • Maintenance : lorsque l'administration décide de participer aux évolutions réalisées par la communauté de développeurs, cette mutualisation de la maintenance peut permettre de réduire les coûts.

  • Qualité et performance
    • Qualité technique du code, écrit en mettant l'accent sur la fiabilité et la performance, relu et corrigé par de nombreux programmeurs qui prennent en compte les remarques d'une communauté d'utilisateurs active.
    • Flexibilité : la libre disposition du code source et la logique de composants permettent d'adapter le logiciel au type d'utilisation, donc, le cas échéant, de l'alléger et d'en optimiser les performances.

  • Sécurité
    • L'accès au code source facilite la détection d'éventuels trous de sécurité intentionnels (backdoors) dans un logiciel libre, bien que ceux-ci soient habituellement extrêmement difficiles à détecter.

  • Ouverture et interopérabilité
    • Ouverture : les logiciels libres respectent généralement les standards édictés par les instances de standardisation et de normalisation alors que certains éditeurs importants s'en écartent.
    • Interopérabilité : le respect des standards par les logiciels libres implique que l'offre de logiciels libres respectant les critères du Cadre commun d'interopérabilité pour l'administration est large.

  • Pérennité : le gage de la pérennité pour les logiciels libres repose notamment sur la taille de la communauté de développeurs et de clients ; l'administration doit prendre en compte ce critère en sélectionnant un logiciel libre.

  • Indépendance
    • L’indépendance à l’égard d’un éditeur : la libre disponibilité du source, ainsi que la possibilité de le modifier et le redistribuer, permettent, si nécessaire, une personnalisation d’un logiciel par une organisation. Le logiciel peut ainsi évoluer indépendamment de son développeur, soit par des évolutions effectuées par des équipes internes à l’organisation, soit par sous-traitance.
    • De même, l’indépendance est également vraie à l’égard des prestataires. Le logiciel libre est un moyen d’accroître la concurrence pour le service autour des logiciels libres par un accès plus large à la connaissance autour d’un produit donné.(...)

Précautions d’emploi


Les logiciels libres présentent de nombreux avantages, mais leur usage suppose quelques précautions d’emploi. Ils demandent notamment de connaître la manière dont fonctionne le secteur du logiciel libre. La licence d'un logiciel libre autorise en pratique son bénéficiaire à être utilisateur de l’outil mais également producteur d’évolutions du logiciel. Chaque utilisateur de logiciel est donc potentiellement un contributeur. Dans ce schéma le rôle de l’éditeur est tenu par un groupe de contributeurs, coordonnés, en général, par l'auteur.
L’utilisateur d’un logiciel libre doit donc comprendre que la transformation du rôle d’éditeur dans la relation triangulaire entre société de services, éditeur et clients entraîne une responsabilité accrue pesant sur le couple client / prestataire de service. Ces responsabilités accrues doivent être prises en compte :
  • soit par un accroissement du rôle de l’utilisateur, par exemple en devenant lui-même développeur / contributeur, ou en effectuant la veille technologique nécessaire pour comprendre les évolutions d’un logiciel libre,
  • soit par un accroissement de la responsabilité des prestataires de service, afin qu’ils assurent et se partagent des rôles nouveaux (support de type éditeur, assistance à la publication de code libre, animation d’une communauté autour d’un logiciel, etc.).
Dans tous les cas il faut bien comprendre que le pendant à cette gratuité des licences est une reprise en main de responsabilités théoriquement assurées par l’éditeur.
Il faut donc choisir une solution logiciel libre en étant conscient de cette contrainte et disposer de solutions permettant de gérer cette situation (équipe interne, sous-traitance, etc).
En revanche, il n’est pas nécessaire d’être contributeur de logiciels libres, c’est-à-dire diffuseur de modification pour bénéficier des avantages des logiciels libres présentés plus haut.


Terminologie / Faux amis


Freeware

Souvent développés à titre de hobby par un développeur unique, ces logiciels sont (comme leur nom l’indique) gratuits. Le terme free est ici associé à la notion de gratuité. En revanche, la disponibilité du code source est laissée à la discrétion du développeur qui demeure propriétaire de son œuvre (notion de copyright). Dans la pratique, on constate que le code source d’un freeware est rarement disponible

Shareware

Le concept de shareware est très similaire à celui de freeware. Il s’en différencie par le niveau de contribution demandé à l’utilisateur. Un shareware n’est pas gratuit, mais son prix reste toutefois modeste (souvent quelques euros). De plus, la licence contient en général des limitations dans le nombre de copies, la durée de l'utilisation et le territoire concerné.
Il existe de nombreux dérivés de l’approche shareware, comme le postware - où l’auteur demande pour seule rétribution de lui envoyer une carte postale. Là aussi, le code source est rarement disponible.

Domaine public

Le terme «domaine public» est parfois utilisé d'une façon peu précise pour dire «libre» ou «disponible gratuitement». Toutefois, «domaine public» est un terme légal qui signifie précisément que le logiciel n'est pas «soumis au copyright». Afin d'être plus précis, il est conseillé d'utiliser le terme «domaine public» dans ce cas uniquement, et d'utiliser d'autres termes dans les autres cas.


Sources :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Logiciel_libreexternal link
http://fsffrance.org/index.fr.htmlexternal link
http://www.gnu.org/philosophy/categories.fr.htmlexternal link
http://www.gnu.org/copyleft/copyleft.fr.htmlexternal link
http://www.logiciellibre.net/ossfswhat.phpexternal link
http://fare.tunes.org/libre-logiciel.htmlexternal link
http://crao.net/gpl/external link
http://ww.mille.ca/mille/logiciels/licences/typesDeLicences.doexternal link
http://www.mascre-heguy.com/external link


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